
Les fenêtres pleurent
De grosses larmes coulent sur leurs parois
Elles font la course
Puis elles s’arrêtent
Laissant un mouchetis uniforme
Le clapotis des tuyaux
Sont les paroles qu’elles taisent
Quand leur chagrin cesse
Les traces sont encore là
Prêtes à redoubler ou s’effacer
L’entre-deux est certain
Le ciel est ému
La terre lui fait de la peine
Pleure-t-il sur nous ?
Ou à cause de nous ?
Tes poésies amènent à la réflexion. J’aime beaucoup.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Marie !
J’aimeJ’aime
Ah, ça, l’humanité n’a pas fini de faire pleurer le ciel ! Très joli texte ! Est-ce que tu écris des haïkus aussi ? Je suis sûre que tu ferais des merveilles dans ce style !
J’aimeAimé par 1 personne
Oh que c’est gentil ! Je vais y penser.
J’aimeAimé par 1 personne