
Distinction entre ennui et vacuité. Le premier, je m’en détourne car cela ne me paraît pas possible, chemin faisant, de le rencontrer. Quand au second, c’est dans cet état qu’il me semble pouvoir accueillir le meilleur. Disant cela, cette affirmation est dans le néant… j’en confesse, justement, toute la vacuité sans l’ennui. Vieilles habitudes que la justification ou l’apposition d’étiquettes mais de l’une comme de l’autre, à mille lieues de moi. En revanche, vint la saine compréhension et un regard neuf.