
Sapristi, il me faut de l’air pur et des paysages de nature ! Vous aussi me direz-vous. J’entends une mélodie d’oiseaux, j’imagine combien elle serait amplifiée à la campagne, par exemple en Dordogne, département vingt-quatre… En avril, ne te découvre pas d’un fil mais découvre-toi du fil à la patte… De mille façons, la vie citadine me paraît dorénavant absurde et néfaste et je trouve vain de m’entêter plus. Et un aller simple !